Un réseau de solidarité pour relier les groupes d’entraide locaux et s’auto-organiser face à la pandémie

C’EST QUOI #COVID-ENTRAIDE FRANCE ?

#COVID-ENTRAIDE FRANCE est un réseau de solidarité qui se construit avec toutes les bonnes volontés (auto-organisé par des volontaires) depuis le 12 mars soutient et relie l’auto-organisation de groupes locaux d’entraide dans le cadre de la pandémie de Covid-19. Nous nous concentrons sur la fourniture de ressources, le partage d’informations vérifiées et la mise en relation des personnes à un niveau national, régional et interlocal, sur les réseaux sociaux et, au niveau local, par la création et le référencement des groupes locaux d’entraide dans nos voisinages.

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Author: solidaires33

1 thought on “Un réseau de solidarité pour relier les groupes d’entraide locaux et s’auto-organiser face à la pandémie

  1. Face à la pandémie, retournons la « stratégie du choc » en déferlante de solidarité !

    Près de 230 personnalités parmi lesquelles des médecins, infirmier.e.s., psychologues, réanimateurs, enseignant.e.s, comédien.ne.s, paysan.ne.s, artistes, chercheuses, scientifiques, musicien.ne.s, syndicalistes, éditrices, libraires appellent à s’auto-organiser face à la pandémie de Covid-19 et à rejoindre le réseau de solidarité #COVID-ENTRAIDE FRANCE.
    L’APPEL :

    Cet appel a été publié le samedi 21 mars 2020 simultanément sur Reporterre, Bastamag, Médiapart, Lundi Matin, Politis, Terrestres, Regards, Rapports de Force, Mouvements, Contretemps

    Depuis une semaine la France est entrée dans une nouvelle réalité vertigineuse. Le Covid-19 n’est plus une « petite grippe », selon nos gouvernants, mais la « pire crise sanitaire depuis un siècle ». Un choc intime qui nous fait trembler pour nos proches et toutes les personnes particulièrement fragiles. Une secousse géopolitique qui fait s’effondrer la mondialisation néolibérale comme un château de cartes.

    2019 avait été une année d’incendies ravageurs en Australie, Amazonie et ailleurs, et d’immenses soulèvements populaires. 2020 a d’ores et déjà les traits d’une paralysie totale, une crise systémique majeure.

    Cette pandémie achève de rendre irrespirable la vie dans un système politique et économique délirant, néfaste, mais surtout inutile au moment où un immense besoin de soin se fait sentir. Après être resté attentiste pendant un mois et demi, Emmanuel Macron a promis, pour ne pas perdre la face, que « l’État paiera […] quoi qu’il en coûte ». La « mobilisation générale » est décrétée. « Nous sommes en guerre », paraît-il, contre un « ennemi invisible ».
    Face à cette rhétorique militariste, nous affirmons une autre logique. À « l’union nationale » nous préférons l’entraide générale. À la guerre, nous opposons le soin, de nos proches jusqu’aux peuples du monde entier et au vivant. En France, comme dans les autres pays, nous allons tenir ensemble pour faire face à l’épidémie. Nous allons transformer l’isolement imposé en immense élan d’auto-organisation et de solidarité collective.

    Avec nos voisin.e.s, nos ami.e.s, nos familles, nos proches, nos collègues ; dans nos immeubles, nos rues, nos quartiers, nos villes et nos villages ; notamment en utilisant les réseaux sociaux, nous allons construire l’entraide à la base. Pour aider les plus fragiles qui ne peuvent pas sortir à obtenir de la nourriture. Pour garder les enfants de celles et ceux qui doivent continuer de travailler. Pour partager des informations vérifiées sur la situation. Pour se donner des nouvelles et se réconforter dans cette situation déchirante. Pour soutenir les plus précaires dans leurs luttes pour vivre. Pour faire face à une crise économique, bancaire et financière qui s’annonce dévastatrice malgré les annonces faussement rassurantes des banques centrales. En restant chez nous pour le moment, mais dans la rue dès que possible.

    Face à l’ampleur du bouleversement, même Emmanuel Macron appelle à « innover dans la solidarité ». Mais nous ne sommes pas dupes du fameux « en même temps » : l’entraide que nous construisons n’est pas l’auxiliaire d’un État néolibéral défaillant. Elle ne sera pas le cheval de Troie d’une future « stratégie du choc » à base de télétravail, de « volontariat citoyen » dans des services publics détruits, et de poursuite dans la destruction des acquis sociaux au nom de « l’état d’urgence sanitaire ».

    Notre solidarité est celle du peuple, de ceux d’en bas, qui se serrent les coudes pour survivre et pour vivre dignement. Elle n’a rien à voir avec celle des élites mondiales – facilement dépistées, elles -, qui se retranchent dans leurs palais dorés, protégés et désinfectés pendant que les soignant-e-s sont « au front » sans moyens et fabriquent leurs propres masques de protection en prenant tous les risques.

    Pendant que les travailleurs sociaux et les institutrices gardent leurs enfants, sans consigne officielle pour se protéger, s’exposant à une contamination. Pendant que les plus précaires, les sans logis, sans papiers, sans réseaux sociaux, les intérimaires sans chômage partiel, les « indépendants » contraints au travail en danger ou sans activité, seront encore plus frappé.e.s par la crise. Pendant que les personnes âgées dans les EHPAD, les personnes handicapé-e-s à mobilité réduite, les personnes internées en hôpital psychiatrique se voient encore plus privés de liens sociaux. Pendant que les « déjà confiné.e.s », les migrant.e.s enfermé.e.s en centres de rétentions et les prisonnier-e-s voient leur situation encore aggravée. Pendant que les habitant.e.s des quartiers populaires et les personnes racisé.e.s sont parmi les premier.e.s visé.e.s par la répression liée au confinement.

    Jamais l’alternative n’a été si claire, le scandale si palpable : nous jouons notre vie pendant qu’eux gèrent l’économie.

    L’entraide que nous allons construire s’inscrit dans le sillage du soulèvement des peuples partout dans le monde au cours des derniers mois, du Chili au Liban, de l’Algérie au Soudan. Cette vague a répandu sur la planète la nécessité de mettre nos corps en jeu. Le Covid-19 rend indispensable, pour l’heure, leur confinement. Mais révoltées ou confinés, nous mourrons d’un système qui recherche le profit et l’efficacité et pas le soin, le pouvoir et la compétition et pas l’entraide.

    Cette épidémie ravageuse n’est pas une simple réalité biologique. Elle est amplifiée par les politiques néolibérales, la destruction méthodique de l’hôpital et de l’ensemble des services publics. Si ce virus tue autant, c’est aussi parce qu’il n’y a plus assez de soignant.e.s et de lits, pas assez de respirateurs ou parce que l’hôpital tend à devenir une entreprise à flux tendu. Et si nous applaudissons chaque soir à 20h les soignant.e.s, c’est aussi pour contenir notre colère contre les gouvernants qui savaient que la tempête arrivait depuis deux mois sans rien faire.

    Nous appelons donc à renforcer la solidarité et l’auto-organisation pour faire face à la pandémie et la crise systémique, partout où c’est possible, sous toutes les formes imaginables, tout en respectant la nécessité absolue du confinement pour freiner la propagation. Plus particulièrement, nous appelons à rejoindre le réseau de solidarité auto-organisé #COVID-ENTRAIDE FRANCE (https://covid-entraide.fr/) qui se constitue dans des dizaines de lieux depuis une dizaine de jours. Nous invitons à créer des groupes d’entraides locaux en ligne et sur le terrain, de notre hameau à notre village, de notre immeuble à notre ville. Nous appelons à recenser les centaines d’initiatives qui se créent à travers une cartographie collaborative (https://covidentraide.gogocarto.fr).

    Ne restons pas sidéré.e.s face à cette situation qui nous bouleverse, nous enrage et nous fait trembler. Lorsque la pandémie sera finie, d’autres crises viendront. Entre temps, il y aura des responsables à aller chercher, des comptes à rendre, des plaies à réparer et un monde à construire. À nous de faire en sorte que l’onde de choc mondiale du Covid-19 soit la « crise » de trop et marque un coup d’arrêt au régime actuel d’exploitation et de destruction des conditions d’existence sur Terre. Il n’y aura pas de « sortie de crise » sans un bouleversement majeur de l’organisation sociale et économique actuelle.

    Il y aura un avant et un après. Nous sommes pour l’instant confiné-e-s, mais nous nous organisons. Et, pour sûr, nous reprendrons les rues, les jardins, les outils de travail, les moyens de communication et les assemblées, ensemble.

    La stratégie du choc doit s’inverser. Cette fois-ci le choc ne servira pas à affermir le contrôle, le pouvoir central, les inégalités et le néolibéralisme, mais à renforcer l’entraide et l’auto-organisation. À les inscrire dans le marbre.

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    PREMIERS SIGNATAIRES :

    Des participant-e-s du réseau de solidarité #COVID-ENTRAIDE FRANCE

    Corinne Morel-Darleux, autrice, élue régionale et militante éco-socialiste

    Pablo Servigne, chercheur in-terre-dépendant

    Éric Beynel, co-délégué général de Solidaires

    Cécile Gondard-Lalanne, co-déléguée générale de Solidaires

    Hugo Huon, pour le Collectif Inter-Urgences

    Karim Khelfaoui, médecin généraliste à Marseille

    Adrien Parrot, anesthésiste-réanimateur et informaticien

    Matthieu Bellahsen, psychiatre et praticien hospitalier

    Sarah Kilani, médecin anesthésiste-réanimateur

    Benoit Blaes, président du Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG)

    Sayaka Oguchi, médecin généraliste, trésorière du SNJMG

    Emmanuelle Lebhar, interne en médecine générale, chargée de mission au SNJMG

    Julien Aron, médecin néphrologue, chargé de mission au SNJMG

    Vladimir Adrien, interne de l’AP-HP

    Jonas Pochard, anesthésiste réanimateur

    Amaury Delarge, réanimateur

    Françoise Brun, infirmière

    Catherine Fayet, infirmière

    Benjamin Royer, psychologue clinicien

    Franck Prouhet, médecin généraliste

    Claire Bourgogne, médecin généraliste

    Marcy Pondi, anesthésiste-réanimatrice

    Joachim Müllner, médecin psychiatre

    Amina Ben Salah, médedecin doctorante en Neurosciences

    Sabrina Ali Benali, médecin à Paris

    Ben Omrane Choukri, médecin à Paris

    Stéphane Lerivray, infirmier anesthésiste

    Michel Robin, infirmier

    Marie Llorens, infirmière urgences

    Mathilde Martinot, psychiatre en hôpital public

    Dominique Seydoux, médecin retraité

    Aurélien Barrau, astrophysicien

    Annick Coupé, secrétaire générale d’Attac

    Aurélie Trouvé, porte parole d’Attac

    Raphaël Pradeau, porte parole d’Attac

    Maximes Combes, porte parole d’Attac

    Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération Paysanne

    Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole du Droit au Logement

    Khaled Gaiji, président des Amis de la Terre France

    Cyril Dion, réalisateur

    Geneviève Azam, essayiste

    Thomas Coutrot, économiste

    Benoît Teste, secrétaire général de la FSU

    Annie Déan, porte-parole du MAN

    Jean-François Pellissier, porte-parole d’Ensemble!

    Josep Rafanell i Orra, psychologue et écrivain

    Mathilde Larrère, historienne

    Patrick Farbiaz, cofondateur du collectif Pour une Ecologie Populaire et Sociale (PEPS)

    Virginie Maris, philosophe

    Christophe Bonneuil, historien

    Leslie Kaplan, écrivaine

    Dominique Méda, sociologue

    Céline Pessis, historienne

    Baptiste Monsaingeon, sociologue

    Ludivine Bantigny, historienne

    Johan Badour, éditeur

    Cervaux non Disponibles

    Vincent Verzat, Partager c’est Sympa

    Victor Vauquois, Partager c’est Sympa

    Miguel Benasayag, philosophe

    François Cusset, philosophe

    Dominique Bourg, philosophe

    Jean Gadrey, économiste

    Samuel Hayat, politologue

    Isabelle Cambourakis, éditrice

    Jean-Marie Harribey, économiste

    Audrey Vernon, comédienne

    Xavier Ricard Lanata, essayiste et haut-fonctionnaire

    Yves Cochet, président de l’institut Momentum

    Pierre Khalfa, économiste, Fondation Copernic

    Catherine Zambon, autrice

    Serge Quadruppani, écrivain

    Nathalie Quintane, écrivain

    Sezin Topçu, sociologue

    Alain Damasio, écrivain

    Jérôme Baschet, historien

    Bernard Friot, sociologue

    Stéphane Lavignotte, théologien

    Elise Lowy, cofondatrice de PEPS

    « L’1consolable », rappeur

    Kolin Kobayashi, journaliste in-terre-dépendant

    Jean-Jacques Delfour, philosophe

    Gauthier Chapelle, chercheur in-Terre-dépendant et co-auteur

    Paul Ariès, politologue

    Dénètem Touam Bona, écrivain-artiste

    Vincent de Gaulejac, président du réseau international de sociologie clinique

    François Jarrige, enseignant-chercheur en histoire

    Arnaud Muyssen, médecin à Lille

    Anne Thebaud Mony, sociologue

    Jacques Fradin, économiste

    Laure Noualhat, documentariste

    Pierre André Juven, sociologue de la santé

    Cyril Pedrosa, auteur de bande dessinée

    Anne-Sophie Novel, journaliste

    Fabrice Flipo, philosophe

    Sophie Gosselin, revue Terrestres

    Maxime de Rostolan, fondateur de Fermes d’Avenir

    Frédéric Boone, chercheur en astrophyisque

    Vanessa Morisset, critique d’art et enseignante

    Federico Tarragoni, sociologue

    Sofia Meister, chercheuse IRD

    Lucie Davy, avocate membre du Syndicat des Avocat de France

    Annie Ghiloni, militante du MAN

    Louis-Marie Barnier, syndicaliste, sociologue du travail

    Lecomte Gabrielle, sociologue

    Antoine Back, conseiller municipal à Grenoble

    Léna Dormeau, chercheuse en philosophie politique

    Laurent Cauwet, auteur, éditeur

    Julien Théry, historien

    Anne Marchand, chercheuse en socio-histoire

    Fabrice Vigne, écrivain

    Rose-Marie Lagrave, sociologue

    Stéphane Douiller, professeur émérite de philosophie de l’Université Paris 8

    Gérard Bras, philosophe

    Aurélien Gabriel Cohen, revue Terrestres, Université de Paris

    Philippe Boursier, professeur de SES

    Loïc Steffan, co-fondateur La Collapso Heureuse

    Pierre-Eric Sutter, co-fondateur de l’OBservatoire des VEcus du COllapse (OBVECO)

    Marie Didier, écrivain médecin

    Ana Rougier, journaliste indépendante

    Alexis Judic, artiste plasticien

    Roger Champ, militant de la Confédération Nationale du Logement

    Nelly Massera, artiste et réalisatrice

    Camille Riquier, scénographe

    Fred Ortuno, association Art Factories

    Étienne Ciapin, sociologue

    Anthony Laurent, journaliste scientifique, co-fondateur de Sciences Critiques

    Lola Ostier, médiatrice socio-éducative

    Patrice Bride, coopérative « Dire le travail »

    Anne Jollet, historienne

    Jean-Luc Gautero, enseignant-chercheur

    Raphaelle Doyon, maîtresse de conférences

    François Jacquet, ingénieur de recherche

    Gilles Guégan, scénographe-jardinier

    Cyril Piou, chercheur en écologie

    Agnès Valentin, comédienne

    Coraly Zahonero, comédienne

    Nicolas Le Coq, professeur des écoles

    Sandrine Costamagno, directrice de recherche CNRS

    Philippe Merlant, journaliste et conférencier gesticulant

    Grégory Poinsenet, cofondateur de Sorry Children

    Pierre Charrier, cofondateur de Sorry Children

    Fabienne Brugel, metteuse en scène

    Raphaël Sarfati, libraire

    Pierre-Jean Heude, régisseur

    Guillaume Bagnolini, philosophe

    Saskia Cousin, anthropologue

    David Dupuis, anthropologue et psychologue clinicien

    Delphine Schmoderer, plasticienne

    Josépha Dirringer, juriste

    Makis Solomos, musicologue

    Leïla Frouillou, sociologue

    Igor Babou, professeur à l’université Paris Diderot

    Stéphane Bikialo, enseignant-chercheur en littérature

    Gwen de Bonneval, auteur de bande dessinée

    Bernard Schéo, enseignant-chercheur

    Olivier Roueff, sociologue

    Sidi Mohammed Barkat, enseignant-chercheur

    Guillaume Lecamus, metteur en scène

    Stephen Bouquin, sociologue

    Sarah Mekdjian, enseignante-chercheure

    Myriem Augier, sociologue

    Hélène Tordjman, économiste

    Kolja Lindner, politiste

    Antoine Leblois, économiste

    Solène Derrien, plateforme pyrénéenne d’observation atmosphérique

    Laurence Protteau, sociologue

    Laurence Charlier, anthropologue

    Mari Oiry Varacca, géographe

    Clément Barthélémy, docteur en écologie

    Jean-Michel Hupé, chercheur CNRS en neurosciences et écologie

    Mattia Paco Rizzi, architecte

    Denys Piningre, cinéaste

    Rosemary Faulkner, traductrice

    Pascal Maillard, univesitaire et syndicaliste

    Othmar Eipeltauer, paysan arboriculteur

    François Gèze, éditeur

    Christelle Rabier, maîtresse de conférence

    Pierre Lénel, sociologue

    Rada Iveković, universitaire

    Julien Wosnitza, fondateur Wings of the Ocean

    Thomas Berther, fédération Habicoop

    Nicolas Voisin, La Suite du Monde

    Christophe Masutti, chercheur

    Stuart Pluen Calvo, éditeur

    Audrey Boulard, le Vent se Lève

    Floryan Reyne, naturopathe

    Chantal Charlot, formatrice

    Sonja Dicquemare, architecte enseignante

    Samuel Pinaud, sociologue

    Françoise Bressat-Blum, présidente de l’Université Populaire de Lyon

    Philippe Arnaud, co-secrétaire de Solidaires 33

    Anne Macou-Lescieu, el’cagette Roubaix

    Adèle Cassigneul, chercheuse

    Mikael Motelica, enseignant-chercheur

    Philippe Birgy, enseignant-chercheur

    Claude Crestani, psychologue du travail

    Maria da Fonseca, enseignante-chercheuse

    Brian Padilla, écologue

    Philippo Michel, association LESA

    Frédéric Verhaegen, université de Lorraine

    Guillaume Pellerin, physicien et informaticien

    Marjorie Keters, association ACIDES

    Agatha Frankowska-Thuinet, professeur des écoles

    Sophie Hoarau, comédienne

    Benoît Hodeu, archéologue

    Emmanuel Ferrand, association La Générale

    Sarah Labelle, maîtresse de conférence

    Jean Fauché, pour Alternative et Autogestion

    Philippe Eustachon, metteur en scène

    Tunvezh Gwlagen-Grandjean, journaliste radio

    Amel Dahmani, secrétaire de Sud Collectivités Territoriales

    Florence Vallero, intermittente du spectacle et auteure

    Cyril Dutech, chercheur en biologie évolutive

    Anthony Pecqueux, sociologue

    François Piquemal, enseignant en lycée professionnel

    Jean Bourdoncle, animateur de Lien et Changement

    Laurent Eyraud-Chaume, comédien

    Anne Isla, économiste

    Jérémy Bonner, enseignant

    Frédérique Bey, ingénieure

    Julien Jourdan, enseignant

    Stéphane Pauvret, artiste scénographe

    Étienne Gérard, sociologue

    Marie-Paule Frisot, trésorière du Man Moselle

    Katja Ploog, enseignante-chercheuse

    Anne-Emmanuelle Berger, universitaire

    Josiane Bru, anthropologue

    Jim Petit, musicien

    Sibylle d’Orgeval, réalisatrice

    Catherine Scheer, anthropologue

    Antoine Lamer, Data Scientist

    Nicolas Paris, informaticien

    Stéphanie Mariette, chargée de recherche à l’INRAE

    Marina Sou, pour Libres Apprenants du Monde

    Frédéric Bourdon, conseiller municipal de Vitry-sur-Seine

    Jules Desgouttes, coordinateur de Art Factories

    Hélène Oblet, ingénieure territorial

    Marie Cuillerai, professeure des universités

    Nadine Forte, enseignante

    Françoise Bénet, professeur de danse

    Jacques Pabst, comédien

    Monique Dental, réseau féministe Ruptures

    Franck Gaudichaud, enseignant-chercheur

    Thierry Élias, docteur en optique-atmosphérique

    Philippe Élusse, réalisateur

    Laure Teulières, historienne

    Jimmy Markoum, enseignant

    Marc Pion, paysan gesticulant

    Martine Minne, pour Attac Flandres

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